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Délires 2005-2006

A ceux, du guest et d'ailleurs, qui copient ces délires : merci de préciser la source. ;-) 
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Héé, la grinta, la grinta ! 
 
Chantons avec Jorge, Sergio et Léo sur le célèbre air de Patrick Sébastien, La Fiesta 
 
Aaaah, l’adversaire, 
Prends garde à tes molaires, 
L’adversaire, 
 
On est les rois de la Terre, 
L’adversaire, 
Et on va te faire la guerre,  
L’adversaire, 
 
Oh là ça va être ta fête 
Hé, la grinta, la grinta ! 
T’auras la tête à l’envers 
Hé, la grinta, la grinta, 
Ta mère saura pas te reconnaître 
La grinta, la grinta ! 
T’auras le nez tout de travers, 
La grinta, la grinta ! 
 
Hé, l’adversaire, 
Un p’tit mollar en courant d’air 
L’adversaire, 
Un guet-apens dans l’vestiaire, 
L’adversaire, 
Un bon coup de pied dans l’derrière, 
L’adversaire… 
 
Oh là ça va être ta fête 
Hé, la grinta, la grinta ! 
La machoire en camembert 
Hé, la grinta, la grinta, 
Et la gueule deux mèt’ sous terre 
La grinta, la grinta ! 
Les nonosses tout de travers, 
La grinta, la grinta ! 
 
Et on appellera le François 
La grinta, la grinta ! 
Pour nous arranger tout ça, 
La grinta, la grinta !
 
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Do not disturb. Purpleboys are coming soon 
 
Février 2006 : Flllanky Velcautelen déclare à la DH que le manque de repères dans les vestiaires est l'une des explications avancées pour expliquer les résultats moyens à l'extérieur des Mauves). 
 
Ce qu'on ne sait pas, c'est qu'en plus du plan MPH pour sauver le football belche, il y a un plan Roger pour sauver Anderlecht. 
 
Dorénavant : 
- la circulation est coupée à tout autre véhicule que le car anderlechtois entre le Parc Astrid et le stade du club visité;  
- tous les clubs de D1 doivent reconstruire un vestiaire visiteurs sur base du modèle du vestiaire anderlechtois au Parc ; 
- les sièges de ces vestiaires doivent être de même couleur que ceux du Parc Astrid ; 
- le jour de la visite d'Anderlecht, la photo de chaque épouse des joueurs mauves doit être affichée dans leur casier ; 
- les joueurs doivent recevoir un plan des lieux pour accéder au terrain et ne pas être désorientés; 
- le gazon du terrain doit exactement être du même type que celui du Parc et le terrain doit être tracé avec la même marque de chaux; 
- les filets des buts doivent identiquement être les mêmes que ceux du Parc Astrid; 
- les supporters du club visité sont strictement interdits de stade ce jour-là; 
- à leur entrée sur le terrain, les joueurs anderlechtois sont accueillis par une chanson du grand Jojo; 
- Anderlecht amène ses propres ballons; 
- le "trîîîît" du sifflet de l'arbitre ne peut pas dépasser 0,03 décibel pour ne pas effrayer les joueurs anderlechtois; 
- le marquoir doit être le même que celui du Parc Astrid ; 
- les éventuels buts visités ne sont pas annoncés au micro par le speaker du stade pour ne pas perturber davantage les joueurs anderlechtois; 
- les joueurs visités rentrent au vestiaire après les joueurs anderlechtois; 
- les journalistes télé qui souhaitent interviewer des joueurs mauves doivent préalablement s'identifier et poser leurs question 'off record' pour ne pas perturber les joueurs. Si la question les intéresse, ils y répondront. Sinon, ils rentrent directement au vestiaire; 
- les supporters mauves en déplacement ne doivent pas faire trop de bruit (ça ne doit pas être trop dur à faire respecter) pour ne pas déconcentrer les joueurs.  
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DD Binamé et la conjugaison  
 
C'est le jour où l'on revoit la conjugaison aujoud'hui à la grande école. 
C'est le petit Flanky qui commence avec le passé nostalgique
- J'étais un gland joueul 
- Tu n'as pas connu mon époque de gloile 
- Il était une fois un ex-gland clup 
- Nous avons connu de glandes heules 
- Vous aviez peul de nous 
- Ils nous lespectaient
 
 
Et le petit Flllanky d'éclater en sanglots : Et maintenant, tout le monde ligole  
de nous"
. Pauvre petit Flllanky. 
 
Vient le tour de DD Binamé, toujours aussi sûr de lui, avec une conjugaison au futur compliqué
- Je serai le meilleur entraîneur. 
- Tu seras un méchant Monsieur l'Arbitre. 
- Il sera toujours contre nous. 
- Nous nous battrons contre toutes les injustices. 
- Vous n'aurez pas l'Alsace, la Lorraine et Sclessin. 
- Ils nous persécuteront jusqu'à la fin de nos jours.
 
Et DD Binamé de se mettre, lui aussi, à pleurer. 
Et qu'est-ce qu'on dit ? Pauvres petits Flllanky et DD Binamés ! 
Faites de beaux rêves les chtis n'enfants mauffs et rouches.  
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Le beau, la brute et le tout grand 
 
Once upon a time in het Platteland… C’est l’histoire de trois hommes lancés dans une ruée vers l’or. Western waterzooi arrosé à la gueuze et au porto rouge. 
Le premier est blond comme les blés, beau comme un coucher de soleil dans l’Arizona, souriant comme un premier communiant, coiffé comme un cow-boy sortant de chez le barbier. N’importe quelle mère le marierait à sa fille. Il pousse la coquetterie et l’opération séduction jusqu’à aller s’excuser auprès de sa victime quand sa balle ricoche sur le sol pour atteindre son objectif. Pas de défauts ? Juste une certaine tendance à l’individualisme, à s’emmeler parfois les doigts dans son pistolet et, surtout, une facilité à tomber de cheval au moindre coup de vent. Mais un sourire pour la photo, et c’est oublié. Il rêve d’or mais aussi de mannes d’argent à conquérir en des terres plus lointaines… 
Le deuxième est un tout grand, un dieu parmi les hommes. Un Billy-the-Kid des vastes contrées bruxelloises qui s’est déjà couvert d’or. Une sorte de force tranquille que l’Unesco, un jour, forcément, classera comme parmi le ‘patrimoine de l’Humanité’ (hein fieu). Il a toute les qualités : doué, rapide, jeune, sympathique, élégant, déjà riche et célèbre. La mère qui rate le beau blond pour sa fille peut se rabattre sur lui. Revenu de blessure, il dégaine à nouveau comme dans ses plus beaux jours… 
Le troisième est LA brute épaisse. Basané, regard sombre et barbe mal rasée. Les mères rentrent leur linge et leur fille quand il débarque. Pistolero doué, chevauchées ravageuses mais un caractère de truand. Il prend ses adversaires à la gorge, gifle les imprudents et élimine ceux qui entravent son chemin. Des frères Dalton, il a hérité du maillot rayé et, parfois, des boulets au pied qu’il traîne néanmoins avec vigueur derrière lui.  
Sa tête est mise à prix, il le sait. Au pays des compromis(sions), des gens dignes et bien propres sur eux, des beaux-fils idéaux et des hiérarchies bien établies, il n’a pas sa place. Bien avant le duel ultime, les tireurs d’élite ont déjà ouvert le feu.  
Il est malin et s’il résiste à la soif de l’or, il ne se ruera pas au rendez-vous fixé pour le duel. Inutile d’aller se faire dégommer dans un combat inégal… He’s a poor lonesome cow-boy. So far away from home...  
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“TOUT ÇA” (NE NOUS RENDRA PAS LE TITRE) 
 
“TOUT ÇA” vous avait déjà montré le monde du foot. On avait suivi les frères Bayat au pays du logement social et des maillots roses. Et qu’avait-on vu ? Qu’on peut s’attacher à un club et y consacrer la majeure partie de son temps. Le virus du foot, on l’a ou pas.  
 
Les amateurs se souviendront qu’à la fin de la saison dernière, l’entraîneur d’un ‘grand’ club jetait le gant. Epuisé. Fatigué des critiques. Pendant ce temps, celui qui a failli tuer ce même club il y a 22 ans préférait les Livres turques aux euros. Que faire ? C’était sans compter sur le pouvoir de persuasion du directeur technique du club qui est allé rechercher et remotiver l’ex-coach. Un remix du ‘Grand Retour’, du ‘Grand Pardon’ du ‘Big Bazar’ était en préparation.  
 
D’abord, il a su trouver les mots justes : « Tu es le plus grand, le plus fort, le plus beau. Tu marches sur l’eau. » Il a compris, lui, qu’un apprenti-coach a un cœur d’homme et un égo qu’on peut flatter. Même crucifié par la vindicte populaire, ce nouveau messie ressuscita et revint parmi les mortels pour accomplir son miracle : la multiplication des points.  
 
Ensuite, ils lui ont appris sa leçon : « Vous savez, je reviens pour le bien du club. Je n’étais pas demandeur. »  
 
Aujourd’hui, il est toujours là. Et en leader, fier et autoritaire. Limite arrogant. Vous le verrez : avachi sur son banc quand son équipe est menée, s’endormir pendant la leçon de théorie de son adjoint, emmener son équipe faire du karting ou du ski dans les Fagnes, faire du marketing auprès des fans dans la grande roue de la Foire de Liège en entonnant le refrain si populaire « Une si belle ville mérite un club champion », faire copain-copain avec les journalistes, dire « Oui Monsieur Sergio, comme vous voulez Monsieur Sergio » à l’entraînement… Accueillir à bras ouverts la brebis égarée partie pêcher pour son salut ou encore, courir un samedi matin, une pelle à la main, pour déblayer un terrain enneigé, en espérant que... Ou encore, s’entendre dire par le patron du club : « Fais comme d’hab’. Tu la fermes et tu nous laisses faire. C’est pour ça qu’on te paye.» 
 
Désormais, soutenu par une presse qui croit enfin retrouver la grandeur du club, l’apprenti coach n’a plus peur de rien : pas même de croire au miracle des miracles en mai 2006… 
 
Diffusion : prochainement sur la UNE (si pas d’action judiciaire entre-temps). 
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MISSION : IMPOSSIBLE 
 
"Bonjour Monsieur Herman VH, votre mission aujourd’hui, si vous l'acceptez, est de retrouver un mail envoyé par l’UB pour vous signaler que l’agent AVB ne peut être utilisé à Westerlo...Vous agirez seul, nul ne pourra vous aider. Retrouver ce mail est d’une importance capitale dans la lutte pour le sacre. Dès que vous l’aurez intercepté, vous le transmettrez à l’agent Fllllanky. Faites attention de lire la date dans le bon sens. Si vous ne le retrouvez pas, ou que vous le perdez, vous en assumerez la responsabilité ultime. Et vous sauterez. Attention, ce message s’autodétruira dans cinq secondes. » 
- Heu, méééél ? Mais je n’ai méééééél nulle part hein fieu. C’est quoi ce bastringue ? Attendez, revenez…  
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Les 1001 coups de fil de Fiston Roger 
 
Fort ennuyé par les récentes contre-performances de son club chéri, et les perturbations que cela entraîne dans son planning de golf, Fiston Roger a passé la journée d’hier à consulter tous azimuts. Une oreille indiscrète a vaguement capté quelques bribes de conversations téléphoniques…  
- Allo ? L’Union belge ? Dites, le vieux coach que je vous ai refilé il y a 4 ans, ça vous ennuie si je le récupère ? Finalement, c’est encore dans les vieilles casseroles qu’on fait les meilleures soupes… 
- Allo, l’Union belge ? Oui, c’est encore moi. Dites, le tirage au sort de la Coupe, c’est bien mercredi à 16h30 ? Comment ? On est éli… Ah oui, m…, j’oubliais.  
- Allo ? Detremmerie ? Dis m’fi, t’as pas encore un bon joueur à me revendre à prix d’ami ? Quoi ? T’aurais bien besoin de tunes mais t’es plus aux commandes du club ? Passe-moi l’autre… 
- Allo ? Oui, bonjour, c’est bien moi. Mogi comment ? Vous prêter Walter gratuitement à la trêve ? Oubliez, je sais qu’on a du mal à le croire en ce moment, mais ce n’est pas l’Armée du salut, ici. Au revoir. 
- Allo ? Hugo ? Dis, finalement, t’es sûr que tu te plais à Genk ? Parce que sinon, au point où on en est, tu pourrais peut-être… 
- Allo ? L’UEFA ? Dites, qu’est-ce que ça me coûte si on déclare forfait pour les deux derniers matches ? Parce que là, les plus courtes sont les moins longues et y’en a marre hein les peïs… Si j’avais su, j’aurais pas venu.  
- Allo ? Oui, c’est moi, à qui ai-je l’honneur ? Le Guiness Book pour… ? Allez vous faire f… ! 
- Allo ? Oui, c’est bien Roger. La police d’Ander… ? Aïe, bonjour commissaire. Qui dois-je venir rechercher aujourd’hui ? 
- Allo ? François l’Embrouille de RTL ? Et vous voulez savoir comment on dit ‘jaune’ en néerlandais ???? 
- Allo ? Le Lierse ? Dites, votre Herman Van Ouzbèk, vous êtes sûrs que ne voulez pas le reprendre ? On vous le ramène gratis… 
- Allo ? Alain Courtois ? Dis fieu, t’es sûr que tu te plais au Sénat ? Parce que bon, si tu veux, on efface tout et on recommence… 
- Allo ? Oui, bonjour, c’est bien moi le président. Mogi comment ? NON ! Je ne veux pas vous prêter Walter contre des entrées gratuites au Salon des Arts ménagers de Charleroi !!!  
- Allo ? Adidas ? Dites, vous faites des ballons anti-humidité ? Parce que j’ai un joueur qui… 
- Allo ? Goiedag Yves. Ta prolongation de contrat ? Heu, je t’entends mal, y’a de la friture sur la ligne. Rappelle-moi plus tard ! 
- Allo ? OXFAM ? Dites, en janvier, j’aurai quelque 3000 maillots de foot floqués avec des noms de joueurs à foutre au bac. Ca vous intéresse ? Dites-moi oui, sinon, Kiki va me faire un caca nerveux… 
- Allo ? La commune d’Anderlecht ? Bonjour, c’est Roger ici. Voilà, c’est pour demander à Monsieur le bourgmestre s’il serait d’accord d’inaugurer officiellement le nouveau centre de formation qu’on va construire à Neerpede. C’est pour quand ? Oh, bloquez son agenda pour février 2025, ça devrait être prêt. En vous remerciaaaaaant ! 
- Allo ? Si je suis intéressé par un séjour all-inclusive dans une villa à Carcassonne en échange de Walter en janvier ? Mogi comment vous dites ? 
- Allo ? Michou ? Dis feille, traverse la rue et apporte-moi deux bières, parce que là, j’en peux plus…
 
Et la radio, de crépiter « Le téléphoooooooone pleure, quand ellllle ne vieeeeent pas… » 
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L’exorcisme de Roger Standard 
 
Roger Standard était autrefois un homme vigoureux, robuste et qui suscitait crainte et respect dans tout le royaume. En 1984, contre toute attente, il tomba malade. Les docteurs Duchêne et Wauters lui administrèrent des soins qui auraient dû le remettre sur pied. Mais ce ne fut jamais le cas et son état de santé stagna jusqu’à ce que d’autres médecins se penchent sur son cas en 1997 et lui administrent un traitement lourd, mais fort inconstant au niveau de ses résultats. 
Ainsi, depuis lors, le pauvre Roger Standard connaît des hauts, mais aussi et surtout des bas. Il est, par exemple, capable de monter très rapidement les marches d’un escalier, avant de trébucher et des les dégringoler aussi vite. Son état suscite successivement joie et espoir, puis déception et tristesse auprès de ses proches, mais aussi moqueries et hilarité chez ses adversaires d’autrefois et tous ceux qui s’imaginent prendre sa place. 
Bref, les remèdes administrés au malade n’ont aucun effet à long terme. A tel point que l’on a commencé à se demander si le pauvre Roger Standard n’est pas victime d’une possession diabolique. L’archevêché de Liège le pense. Voici trois ans, il avait envoyé l’un de ses exorcistes au chevet du pauvre Roger. La séance de lutte entre le bien et le mal semblait avoir fonctionné. Un petit démon affirmant s’appeler Alphonse s’était exprimé d’une voix lugubre par la bouche du pauvre Roger : « Je m’en vais, mais… n’oubliez pas mes indemnités de rupture ou je reviendrai coller des amendes ». Et le petit démon avait quitté l’enfer de Sclessin pour rejoindre celui de Belzébuth.  
Maaaaaaaisssss… l’étrange mal n’a jamais quitté le pauvre Roger Standard.  
Et l’exorciste est revenu pour une séance des plus terrifantes. Le malade était couché sur un lit, attaché par de forts liens et entouré de bougies blanches allumées. Dès que le prêtre prononça les paroles « Vade Retro Standardas » et ordonna au Malin de sortir du corps de Roger Standard, celui-ci s’agita, plusieurs voix lugubres se succédèrent et éructèrent : 
- « Mama mia, t’es qui toi ? T’es un enquêteur du SJA de Liège ? Dégage d’ici, j’ai déjà tout dit et puis, de toute façon, vous ne trouverez rien. Les poches de Roger sont blanches comme neige… Hahahahahaaaaaaa ! » 
- « Je vois que t’es habillé en noir, corbeau de dieu. T’as été arbitre dans une vie antérieure ? Tu complotes contre nous hein ? Pourquoi veux-tu qu’on sorte de ce corps ? Et si je sors, tu me garantis que je peux aller envoûter l’Union belge ? Ou si tu veux, on t’engage. Tu sais shooter dans un ballon ? T’es libre de contrat ? En revalidation ? Pas trop gourmand et docile ? Viens, rejoins-nous, y’a des tunes à se faire… Hahahahahaaa ! » 
- « Euuuuuh, vous savez, je suis bien ici moi. Je n’ai pas envie de sortir, je fais ce qu’on me dit de faire et je me fous de ce qu’on pense de moi. Ahahhaaaaaaa ! » 
- « Toi Croatie ? Toi aimer pêche et vider caser ? Hahahahaaaaaa !
 
Cette dure séance d’exorcisme guérira-t-elle Roger Standard de ses maux ?  
Suivez cette saga diabolique sur Belgacom TV. Les terrifiantes photos de la lutte entre le bien et le mal sont disponibles sur www.rscl6o’clock&ever.be dont les courageux paparazzis n’ont pas hésité à regarder le Malin droit dans l’objectif. (Ils vous remercient de votre visite). 
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Pandore au pays des merveilles 
 
De nouvelles perquisitions ont eu lieu au stade de Sclessin. Si le bon peuple rouche croit à de l’acharnement judiciaire, les méchants journalistes de ce site ont pu se procurer la liste de ce qui a été emporté pour analyse par les Pandores du palais de justice de Liège. 
Tout d’abord, un cahier appartenant à l’entraîneur, ou prétendu tel, sur lequel il est inscrit « Schéma tactique 2003-2004, puis 2004-2005, fini putain, puis 2005-2006 ». De source sûre, ce cahier serait toutefois entièrement vide. Lors de la perquisition, ledit entraîneur aurait protesté du fait du manque de soin et de méthode des enquêteurs dans son bureau, ce à quoi ceux-ci auraient répliqué : « Monsieur, vous savez, ce qu’on dit sur nous ne nous touche pas. Nous travaillons dur. Ce qui compte, c’est l’animation de la perquisition et la polyvalence des enquêteurs. Nous n’étions pas demandeurs pour faire cette perqui, mais sommes revenus pour le bien du club.» 
Les policiers ont également saisi un panier contenant deux flotteurs, six boîtes d’hameçons, une bourriche et du fil de pêche 22/100 appartenant à un joueur croate qui s’est mystérieusement volatilisé avant la perquisition. D’autres sources nous précisent que la petite culotte de la femme d’un autre joueur figurait dans la bourriche mais nous n’avons pu recouper cette info. 
Les enquêteurs ont par ailleurs emmené la lettre de protestation d’un ex-journaliste de la RTBF envoyée à la direction après que celui-ci ait été agressé par une vedette de l’équipe. Etait joint à cette lettre un livre destiné à l’auteur de l’agression et intitulé « Comment tirer un pénalty en dix leçons », avec un petit mot d’accompagnement sur lequel était écrit : « Avec toutes mes amitiés. Marc. » 
Un contrat arrivé par fax mais rédigé en grec aurait aussi été saisi. Interrogé à ce propos, le directeur général du club aurait déclaré aux enquêteurs : « Ce fait trois semaines que j’en reçois des pareils, mais je ne comprends rien ! Qu’est-ce qu’ils veulent ? » 
Le bureau du directeur technique du club a également été visité par les enquêteurs, mais ils n’y ont rien trouvé à part un pot de gel, des lunettes de soleil et un recueil de chants à la gloire du club. 
Toutes les photos de cette saga judiciaire sont disponibles sur www.rscl6o’clok&ever.be . Vous pouvez également pronostiquer sur le nombre d’années de taule que prendront les intéressés et gagner trois caisses d’oranges à leur porter à Lantin. Merci de votre visite.  
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Silvio est arrivé, sans s’presser 
 
Chantons avec Herman Van Holsbeek sur un air bien connu d’Henri Salvador 
 
Dans mon fauteuil, je regardais le film à la télé, 
Un type nommé Roger-le-Golfman poursuivait le pauvre Herman 
Il le coinça près d'la Coupe et très méchamment lui dit : 
"Si tu m'prends pas le Silvio pour mon club, 
J’te défonce la tête à coups de clubs !"
 
Puis il l'empoigna... 
Et alors ... 
Ben, il la ficela... 
Et alors... 
Il lui posa la tête sur une marche.. 
Et alors... et alors ... 
 
Et, et, Silvio est arrivé 
Sans s'presser 
Le grand Silvio, le beau Silvio 
Avec son ch'val et son cher Pietro
 
 
Mais bientôt j'ai pris la deuxième chaîne 
Car un vieux schnock parlait 
Charmante soirée, sur la deuxième chaîne y passait le même navet 
Au fond du Parc, Roger-le-Golfman coinçait le pauvre Herman 
Et il lui disait : 
 
"Donne-moi le Silvio, eh, Gargamel ! 
si non, j’rappelle Mister Michel"
 
Puis il l'empoigna... 
Et alors ... 
Ben, il la ficela... 
Et alors... 
Il prit son GSM… 
et alors, et alors ... 
 
Et, et, Silvio est arrivé 
Sans s'presser 
Le grand Sylvio, le beau Sylvio 
Avec son ch'val et son cher Pietro
 
 
Mais moi j'en avais tellement marre 
J'ai repris la première chaîne 
Et devant mes yeux, mes yeux hagards se déroulait la même scène 
Et Roger, Roger-le-Golfman harcelait le pauvre Herman 
Disant : 
"Donne-moi ce gardien, eh, bon à rien ! 
Ou j'vais t'balancer sous l'train"
 
Puis il l'empoigna... 
Et alors ... 
Il la ficela... 
Et alors... 
Sur les rails il l'a fait rouler 
Et alors ... 
Le train arrivait... les copains 
Et alors... et alors ... 
 
Et, et, Silvio est arrivé 
Sans s'presser 
Le grand Sylvio, le beau Sylvio 
Avec son ch'val et son cher Pietro 
Avec ses gants, flairant le magot 
Avec son look de dandy rigolo
 
 
Ah ! Ah ! Sacré Silvio ah ah ah ah 
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(c) Ben - Créé à l'aide de Populus.
Modifié en dernier lieu le 2.06.2006
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